Ljubljana (Slovénie)
À la sortie de la gare la ville nous parait jeune et dynamique. Il y a des vélos et des pistes cyclables partout, des brumisateurs de rue, il y même une installation de pluie artificielle dans le centre ville pour rafraichir les passants… il faut dire que Ljubljana a été capitale européenne de la culture.





Mariana nous attend pour nous installer dans notre chambre.





Mariana, est une charmante raccommodeuse de parapluies fatigués ! Sous Tito, son père avait gravi tous les échelons de réparateur de parapluies jusqu’à être cadre de l’usine de parapluies de la ville. Aux portes de la direction de l’établissement il lui fallait impérativement être membre du parti, ce qu’il n’était pas et les portes se sont aussi vite refermées. Mais qu’à cela ne tienne, il avait un rêve: avoir sa propre petite boutique de réparation de parapluie. Quel horreur ! il était devenu capitaliste… tant bien que mal il réussi dans les années 60 à acquérir sa petite boutique et à atteindre son rêve. À sa mort, Mariana pris sa suite et continua à faire vivre le rêve de son père sans rien avoir changé dans la petite boutique. A l’étage elle loue quelques chambres pour continuer à faire vivre cette magnifique histoire qu’aurait certainement aimé Jacques Prévert.
Zagreb (Croatie)




Depuis l’entrée en Slovénie, maintenant en Croatie puis en Serbie, ce ne sont que des très beaux paysages de montagnes et de forêts qui défilent au fil de l’avancée des trains que nous empruntons. Nous arrivons donc à Zagreb en fin de matinée. La ville moins carte postale que Ljubljana est, au sortir de la gare, plus imposante avec ses bâtiments Austro-hongrois et ses larges avenues. Malheureusement notre logement n’est pas disponible avant 16h et nous devons « zoner » durant 4 heures avant de nous y installer. Soirée sympa dans le vieux Zagreb, et matinée suivante dans le jardin botanique avant de prendre cette fois un bus pour Belgrade.





Belgrade (Serbie)
8 heures de bus plus loin !
Arrivée de nuit dans la capitale Serbe et première petite arnaque (en 1 mois et demi ça va) avec un taxi qui nous taxe 30 € pour 6/7 minutes et nous larguer en plein milieu d’un boulevard. Nous trouvons quand même très rapidement notre logement « ARKABARKA » un hostel flottant pour backpackers amarré sur les berges du Danube. Accueil top sympa d’Alexandar et Emilija. Nous resterons 3 nuits dans ce charmant endroit (que nous vous conseillons). Nous profitons d’une journée à flâner en ville et une autre de repos total bercés par la houle Danubienne !


0 commentaires